Nous ne
disposons pas
de photos de la prestation de la Pas'Chorale, ni de l'ensemble
d'accordéonnistes, ni de la prestation des Farfelus.
Grâce à notre
fidèle ami Claude Salinas, nous avons des photos du groupe "Silk
Fingers" Des photos
des Farfelus ont été prises pendant l'ultime
répétition,
Un mot pour remercier Isabelle et sa fille qui nous ont régalés d'un morceau pour deux violoncelles (composé par Joseph Bodin de Boismortier), qui a amené un moment musical exceptionnel dans cette soirée dédiée à la Fête de la Musique... |
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Les
Farfelus : ébauche d'un ensemble de
musiciens amateurs, dont certains n'ont pas joué depuis une trentaine
d'années, d'autres étant débutants, d'autres encore y font leur
première rencontre avec un instrument...
L'idée
en est venue lors de
répétitions des choristes à la Pas'Chorale, Isabelle, notre cheffe de
choeur, ayant suggéré que nous pourrions faire quelque chose pour la
fête de la musique. C'est ainsi qu'après 4 répétitions, les Farfelus
se sont présentés le 19 juin 2010 devant un public de
Garennaises et de Garennais peu nombreux,
mais particulièrement enthousiaste !!!
Les
Farfelus ne sont pas
encore prêts pour sortir un disque, mais gageons qu'après une année de
travail, il devrait y avoir de gros progrès !!!.
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Quelques photos
L'ensemble des Farfelus
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Farfelu Etienne | Farfelu Bernard |
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Les
plus sérieux
Farfelu
Marc
Farfelue Véronique
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Les
moins sérieux
Farfelus Francis et John
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![]() Tout commence par des chansons..... |
![]() Et dans la bonne humeur ! |
![]() Alors, c'est où que vous
voulez aller ???
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![]() c'est du pop'art !!!
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![]() Dolly Pentraeth n'était
pas bretonne, mais presque !
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![]() La môme courant d'air
![]() Francis a répété son
texte pendant des heures .... Ouin...Ouin... !!!
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![]() Et comme on a commencé
avec des chansons, on finit de même, avec une ode à la gloire de notre
cheffe !
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![]() ![]() ![]() Et on choisit ! |
La vente de livres
du 18 novembre 2012 |
![]() Comme toujours,
il y a du monde
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![]() Des lecteurs assidus !
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![]() Et même un mini
salon de thé ...
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Souvenirs
d'un
vieux marin . . . |
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Hommage au Cidre
Le bon cidre rend le bras
ferme,
Qui boit bien est bon travailleur.
Aussi le maître de la ferme
A dit « Tirez-nous du
meilleur ! »
Quand il pétille dans nos verres,
Eblouis par ses doux reflets On ne voit plus de fronts sévères : En avant les joyeux couplets ! |
Allegro
du
Concerto pour 2 violoncelles et basse continue
Violette, Isabelle, Pascale, Véroniue flûte à bec, Marc au saxhorn alto
![]() Claudine Ernou
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Le Pommier et son breuvage J'aime
leur neige rose et blanche Qui tombe sur l'herbe des prés Et leurs fruits qui courbent les
branches Ou roulent dans l'auguet de grès. Sous des cercles le jus sommeille Et devient limpide et
charmant ! Vidons, remplissons la bouteille Et vive le cidre Normand ! |
![]() Monique Descamps |
L'éloge du petit cidre et du pur jus Le petit cidre est un breuvage Merveilleusement en usage, Qui ne dégoutte nullement ; Aussi vaut-il mieux au malade Que la tisane assurément Et la meilleure limonade.
Il maintient l'embonpoint aux dames Car comme un beau jardinage L'air et l'eau nourrissant les lis, Il nourrit ceux de leur visage.
Parmi la trop grande blancheur ; C'est lui qui fait naître les roses, Et pour rendre nos yeux contents Humide et chaud, il fait les choses Que fait au jardin le printemps. |
![]() Josiane MARIE
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La Colporteuse Je suis une colporteuse, je vais me balader à pied Par les grandes routes, par les petits sentiers. Une paire de bottes, un sac sur le dos, Quand je traverse les villages on me dit : « salut Jeannette » Les montagnes ne me font pas peur, je grimpe par les cols. Ce n'est pas pour vendre des tapis, des casseroles, Je vends des instruments de toutes les couleurs. Ma camelote est pleine de notes, je suis Jeannette la colporteuse. J'ai dormi dans une grange près de St Quentin, Une nuit épouventable, il faisait un temps de chien. Les trous dans le toit laissaient passer la pluie, Et les rats, les chats, les chauves souris me faisaient gui li gui li. Oh là là ! Qui vient me réveiller, là-bas dans la maison ? C'est la patronne et sa fille qui sautent dans leur jupon ! Je leur dis : coucou ! Il ne faut pas avoir peur§ Ma camelote est pleine de notes, je suis Jeannette la colporteuse. Si vous me permettez, je vais vider mon sac à dos, Je ne vends pas de guitare, bien sûr, pas de piano ! Approchez ! Approchez pour écouter mon bric à brac. J'ai des choses qui font « la la la » et qui font « tic tac » Ecoutez le son de mes crécelles, de ma planche à musique, Ma flûte à piston et mon tuyau harminique. Merci, au revoir, mesdames, je vous souhaite du bonheur. Avec ma camelote pleine de notes, je suis Jeannette la colporteuse. Me voilà sur la route encore avec mon sac, Me voilà partie en emportant tout mon bric à brac. Les trous dans mes bottes font passer mes orteils, Là-haut, les trous dans les nuages font passer un peu de soleil. Et la, la... Je suis une colporteuse, je vais me balader à pied Par les grandes routes, par les petits sentiers. Une paire de bottes, un sac sur le dos, Quand je traverse les villages on me dit : « salut Jeannette » Les montagnes ne me font pas peur je grimpe par les cols. Ce n'est pas pour vendre des tapis, des casseroles, Je vends des petits instruments de toutes les couleurs Ma camelote est pleine de notes, je suis Jeannette la colporteuse. Ma camelote est pleine de notes, je suis Jeannette la colporteuse Ma camelote est pleine de notes, je suis Jeannette la colporteuse |
![]() Marc
BOIREAU
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La légende du Pont de l'Arche
La première fois que l'on décida de
construire un pont sur la Seine, en cet endroit, l'architecte chargé de
ce
travail eut bien des ennuis, à cause du courant de la Seine, et du fond
sans
consistance : des arches furent même emportées, durant la
construction. « Ah! Au diable soit ce
pont ! » dit un jour l'architecte, furieux et découragé... Cette phrase fut entendue par qui de
droit, et Satan lui apparut aussitôt : «Tu demandes mon aide. Faisons un
pacte. Je puis, cette nuit, finir ce pont, mais à cette
condition : tu me
laisseras emporter l'âme de la créature qui, la première, le
franchira. » Le marché fut conclu. A l'aurore, le matin suivant,
l'architecte vit son pont solidement posé sur ses arches. « Alors ? » dit Satan à
ses côtés... |
![]() Bernard LISIECKI
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La légende de Tête de Dragon
Un pauvre paysan veuf avait
trois filles qu'il avait bien du mal
à nourrir...
. . . . . .
...Aujourd'hui, s'ils ne sont
pas morts, heureux, ils le sont encore. » |
![]() Etienne LOZIER
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On raconte
qu’une personne possedait un âne qui vivait dans l’oisiveté et un bœuf
épuisé
par le labeur. Le bœuf se plaignit un jour à l’âne et lui dit : -« Frère,
n’as-tu pas un conseil qui m’aidera à esquiver cette fatigue ? » -« Fais
semblant d’être malade, lui dit l’âne, ne mange pas ton fourrage ; le
lendemain, lorsque notre maître te verra dans cet état, il te laissera
et ne te
prendra pas au labour ; alors tu te reposeras. » Leur maître,
nous confie le conte, comprenant la langue des animaux, entendit leur
conversation. -« Comment
vas-tu, frère ? » -« Bien,
répondit-il, cependant j’ai entendu un propos te concernant, qui m’a
alarmé. » -« J’ai entendu
notre maître dire, lui répondit l’âne, que si le bœuf devait rester
malade, il
faudrait l’égorger pour qu’il ne perde pas de sa valeur. Je te
conseille donc
de reprendre tes habitudes et de manger ton fourrage pour éviter que ce
grand
malheur ne t’arrive. » Et il se mit
tout de suite à sa mangeoire. |
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Mais on finit toujours par trouver celui qu'on a envie de lire !
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![]() La Pas'Chorale
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