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Les tribulations d'un Garennais au pays des tsars |
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Mon cheval, pur sang russe de race orlov, au centre de la photo aurait pu porter un joli nom slave comme les autres mais il s’appelait Terminator !!! |
En plus des cavaliers, nous avions avec nous une troïka qui transportaient 2 conjoints non cavaliers, bien emmitouflés sous une véritable peau d’ours… |
Nous devions marquer souvent une halte car la poudreuse était parfois profonde, pour laisser souffler les chevaux attelés… |
Pour se déplacer dans ces villages reculés, la Duga (attelage avec 1 seul cheval) est encore le moyen le plus efficace… |
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Nous dormions au chaud chez l’habitant, dans
d’authentiques isbas comme celle de la dernière photo ci-dessus. L’accueil de ces paysans
russes d’une extrême pauvreté et qui n’ont jamais quitté leur
région a été très chaleureuse.
C'était la première fois qu’ils rencontraient des occidentaux… |
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Cette province reculée de Vologda, région de lacs gelés en hiver recèle de nombreux monastères. Nous sommes ici à Kirillov et on aperçoit dans le fond l’imposant monastère de St Cyrille Belozersky, le plus ancien de Russie… |
Chaque village ou presque, comme en France, possède un édifice religieux… |
Je termine ce voyage dans les frimas par ce pique-nique inoubliable dans la neige, à déguster de délicieux pirojkis accompagnés de vodka ! |
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Dernière précision : pas d’eau courante
dans les isbas, les russes possèdent généralement un banyo (sauna)
au fond du jardin, sorte de salon où on cause avant de se rouler tout nu dans la neige, çà stimule ! |
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